Evangile du Samedi 19 janvier

Saint Marc 2, 13-17
Jésus sortit de nouveau sur le rivage du lac ; toute la foule venait à lui, et il les instruisait. En passant, il aperçut Lévi, fils d'Alphée, assis à son bureau de publicain (collecteur d'impôts). Il lui dit : " Suis-moi. " L'homme se leva et le suivit. Comme il était à table dans sa maison, beaucoup de publicains et de pécheurs vinrent prendre place avec Jésus et ses disciples, car il y avait beaucoup de monde. Même les scribes du parti des pharisiens le suivaient aussi, et, voyant qu'il mangeait avec les pécheurs et les publicains, ils disaient à ses disciples : " Il mange avec les publicains et les pécheurs ! " Jésus, qui avait entendu, leur déclara : " Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je suis venu appeler non pas les justes, mais les pécheurs. "

Evangile du vendredi 18 janvier

Saint Marc 2, 1-12
Jésus était de retour à Capharnaüm, et la nouvelle se répandit qu'il était à la maison. Tant de monde s'y rassembla qu'il n'y avait plus de place, même devant la porte. Il leur annonçait la Parole. Arrivent des gens qui lui amènent un paralysé, porté par quatre hommes. Comme ils ne peuvent l'approcher à cause de la foule, ils découvrent le toit au-dessus de lui, font une ouverture, et descendent le brancard sur lequel était couché le paralysé. Voyant leur foi, Jésus dit au paralysé : " Mon fils, tes péchés sont pardonnés. " Or, il y avait dans l'assistance quelques scribes qui raisonnaient en eux-mêmes : " Pourquoi cet homme parle-t-il ainsi ? Il blasphème. Qui donc peut pardonner les péchés, sinon Dieu seul ? " Saisissant aussitôt dans son esprit les raisonnements qu'ils faisaient, Jésus leur dit : " Pourquoi tenir de tels raisonnements ? Qu'est-ce qui est le plus facile ? de dire au paralysé : 'Tes péchés sont pardonnés', ou bien de dire : Lève-toi, prends ton brancard et marche' ? Eh bien ! Pour que vous sachiez que le Fils de l'homme a le pouvoir de pardonner les péchés sur la terre, je te l'ordonne, dit-il au paralysé : Lève-toi, prends ton brancard et rentre chez toi. " L'homme se leva, prit aussitôt son brancard, et sortit devant tout le monde. Tous étaient stupéfaits et rendaient gloire à Dieu, en disant : " Nous n'avons jamais rien vu de pareil. "

Evangile du jeudi 17 janvier

Saint Marc 1, 40-45
Un lépreux vient trouver Jésus ; il tombe à ses genoux et le supplie : " Si tu le veux, tu peux me purifier. " Pris de pitié devant cet homme, Jésus étendit la main, le toucha et lui dit : " Je le veux, sois purifié. " A l'instant même, sa lèpre le quitta et il fut purifié. Aussitôt Jésus le renvoya avec cet avertissement sévère : " Attention, ne dis rien à personne, mais va te montrer au prêtre. Et donne pour ta purification ce que Moïse prescrit dans la Loi : ta guérison sera pour les gens un témoignage. " Une fois parti, cet homme se mit à proclamer et à répandre la nouvelle, de sorte qu'il n'était plus possible à Jésus d'entrer ouvertement dans une ville. Il était obligé d'éviter les lieux habités, mais de partout on venait à lui.

Evangile du mercredi 16 janvier

Saint Marc 1, 29-39
En quittant la synagogue, Jésus, accompagné de Jacques et de Jean, alla chez Simon et André. Or, la belle-mère de Simon était au lit avec de la fièvre. Sans plus attendre, on parle à Jésus de la malade. Jésus s'approcha d'elle, la prit par la main, et il la fit lever. La fièvre la quitta, et elle les servait. Le soir venu, après le coucher du soleil, on lui amenait tous les malades, et ceux qui étaient possédés par des esprits mauvais. La ville entière se pressait à la porte. Il guérit toutes sortes de malades, il chassa beaucoup d'esprits mauvais et il les empêchait de parler, parce qu'ils savaient, eux, qui il était. Le lendemain, bien avant l'aube, Jésus se leva. Il sortit et alla dans un endroit désert, et là il priait. Simon et ses compagnons se mirent à sa recherche. Quand ils l'ont trouvé, ils lui disent : " Tout le monde te cherche. " Mais Jésus leur répond : " Partons ailleurs, dans les villages voisins, afin que là aussi je proclame la Bonne Nouvelle ; car c'est pour cela que je suis sorti. " Il parcourut donc toute la Galilée, proclamant la Bonne Nouvelle dans leurs synagogues, et chassant les esprits mauvais. "

Evangile du mardi 15 janvier

Saint Marc 1, 21-28
Jésus, accompagné de ses disciples, arrive à Capharnaüm. Aussitôt, le jour du sabbat, il se rendit à la synagogue, et là, il enseignait. On était frappé par son enseignement, car il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes. Or, il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit mauvais, qui se mit à crier : " Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais fort bien qui tu es : le Saint, le Saint de Dieu. " Jésus l'interpella vivement : " Silence ! Sors de cet homme. " L'esprit mauvais le secoua avec violence et sortit de lui en poussant un grand cri. Saisis de frayeur, tous s'interrogeaient : " Qu'est-ce que cela veut dire ? Voilà un enseignement nouveau, proclamé avec autorité ! Il commande même aux esprits mauvais, et ils lui obéissent. " Dès lors, sa renommée se répandit dans toute la région de la Galilée.

Evangile du lundi 14 janvier

Saint Marc 1, 14-20
Après l'arrestation de Jean Baptiste, Jésus partit pour la Galilée proclamer la Bonne Nouvelle de Dieu ; il disait : " Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle. " Passant au bord du lac de Galilée, il vit Simon et son frère André en train de jeter leurs filets : c'étaient des pêcheurs. Jésus leur dit : " Venez derrière moi. Je ferai de vous des pêcheurs d'hommes. " Aussitôt, laissant là leurs filets, ils le suivirent. Un peu plus loin, Jésus vit Jacques, fils de Zébédée, et son frère Jean, qui étaient aussi dans leur barque et préparaient leurs filets. Jésus les appela aussitôt. Alors, laissant dans la barque leur père avec ses ouvriers, ils partirent derrière lui.

Qu'est ce que le Baptême!!!

Le baptême c'est toute une vie...
C'est un acte qui se réalise à différentes périodes de la vie.
Pour la plupart ils sont baptisés tout petit, mais d'autres découvrent le baptême à la vie adulte.
Peu importe à quel moment de notre vie nous avons reçu ce sacrement, nous sommes tous appelés à renouveler notre baptême.
A travers le baptême Jésus nous plonge dans sa vie, sa mort et sa résurrection, il nous lave de nos péchés, et nous montre le chemin de la vie éternelle.
Seigneur Jésus aide nous, pauvre pécheurs, à renouveler notre baptême car c'est l'histoire de toute une vie...

Evangile du dimanche 13 janvier

Saint Matthieu 3, 13-17
Jésus, arrivant de Galilée, paraît sur les bords du Jourdain, et il vient à Jean pour se faire baptiser par lui. Jean voulait l'en empêcher et disait : " C'est moi qui ai besoin de me faire baptiser par toi, et c'est toi qui viens à moi ! " Mais Jésus lui répondit : " Pour le moment, laisse-moi faire ; c'est de cette façon que nous devons accomplir parfaitement ce qui est juste. " Alors Jean le laisse faire. Dès que Jésus fut baptisé, il sortit de l'eau ; voici que les cieux s'ouvrirent, et il vit l'Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui. Et des cieux, une voix disait : " Celui-ci est mon Fils bien-aimé ; en lui j'ai mis tout mon amour. "

Evangile du samedi 12 janvier

Saint Jean 3, 22-30
Jésus se rendit en Judée, accompagné de ses disciples ; il y séjourna avec eux, et il baptisait. Jean, de son côté, baptisait à Aïnone, près de Salim, où l'eau était abondante. On venait là pour se faire baptiser. En effet, Jean n'avait pas encore été mis en prison. Or, les disciples de Jean s'étaient mis à discuter avec un Juif à propos des bains de purification. Ils allèrent donc trouver Jean et lui dirent : " Rabbi, celui qui était avec toi de l'autre côté du Jourdain, celui à qui tu as rendu témoignage, le voilà qui baptise, et tous vont à lui ! " Jean répondit : " Un homme ne peut rien s'attribuer, sauf ce qu'il a reçu du Ciel. Vous-mêmes pouvez témoigner que j'ai dit : Je ne suis pas le Messie, je suis celui qui a été envoyé devant lui.' L'époux, c'est celui à qui l'épouse appartient ; quant à l'ami de l'époux, il se tient là, il entend la voix de l'époux, et il en est tout joyeux. C'est ma joie, et j'en suis comblé. Lui, il faut qu'il grandisse ; et moi, que je diminue. "